Quel temps pourri!
Quand nous entamons, tôt le matin, notre “chasse aux koi”, il pleut déjà des hallebardes; à la radio, on conseille de rester à l’intérieur, un conseil que nous ne comptons pas suivre.
A notre arrivée chez Torazo, celui-ci est occupé à décharger des koi, sous la pluie battante; Torazo est un éleveur ultra-professionnel. L’ordre règne chez lui. Les koi mâles sont bien séparés des femelles, et chaque catégorie, rangée et classée par niveau et selon l’âge.
A nous incombe la tâche de bien observer et réfléchir, jusqu’à ce que nos yeux tournent du blanc au rouge, à force de se concentrer sur les kohaku.
Nous arrivons à une sélection de trois nisai femelles au-dessus de 50cm.
Nous vous montrons déjà 2 photos d’une d’entr’elles; les deux autres seront mises en ligne demain, car mes prises de vue ne sont pas tellement réussies. Nous y remédions.
Comme vous pouvez vous rendre compte sur cette photo, la qualité est réellement super. Un beau shiroji, une bonne qualité de beni et un body superbe. Très intéressant pour un développement.
Chez Koda nagent, comme toujours, des koi un peu spéciaux, qui nous tentent.
Nous sélectionnons dans les sansai femelles, 1 ochiba shigure, 1 akame kigoi au body robuste et un doitsu showa.
Dans la catégorie des nisai supérieures, notre sélection porte sur 2 goshiki, 1 ginrin showa et quelques kikusui de moindre taille, aux couleurs foncées.
Nous ne mettrons plus les amateurs de gosanke à l’épreuve: nous leur réservons pour demain de belles surprises en matière de koi.
Mata ashita,
Kim et Danny
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